Cherche l'intrus

1) Religieux
2) Cons
3) Cyclistes

Grands fournisseurs de cons devant l'Eternel, les islamistes en tenaient déjà une bonne couche.
Les juifs hassidistes de Williamsburg (USA) peuvent être fiers : ils en ont une de moins, depuis qu'ils ont obtenu de la ville ni plus ni moins que l'effacement des pistes cyclables de la rue qui traverse leur enclave.

Pourquoi ce "traitement" de faveur ? selon eux, les cyclistes sont un danger pour leurs enfants quand ils descendent du bus scolaire, et surtout ils sont un affront à leurs convictions religieuses qui interdisent de voir des personnes du sexe opposé (faites gaffe bande de guignols, votre pays est dirigé par un noir et la maire de Houston est lesbienne).

Le plus fort c'est pas la raison invoquée, mais le fait que le maire accepte de sabler des pistes cyclables pour apaiser la communauté juive...... avant les élections !


Voir l'article du New York Post ici

Plus que jamais, l'abus de religion est dangereux pour la démocratie. Vive la France laïque (dirigée par Sarko le catho, je me marre).

En tout cas, faut surtout pas supprimer les pistes cyclables à Rouen, elles sont très utiles.

Un boulot de chien

Pas facile d'être chien guide d'aveugle (ou même aveugle) de nos jours... je te laisse découvrir pourquoi.

(extrait de 30 millions d'amis)

Suffit d'un abruti bien placé

et on bloque toute une rue...

Attends, c'est pas fini !!

le crétin arrive...

se rend compte de ce qu'il a provoqué...

et, l'air de rien, va se garer...

juste en face...

toujours sur le trottoir !

Petite explication pour la route : à cause de la voiture jaune, le camion de la Poste ne pouvait pas rejoindre son emplacement de désserte tracé sur le trottoir juste devant la Poste. Il était pas très coopérant, cela dit. Au lieu d'avancer un peu pour laisser passer le bus (en regardant bien, on voit que le bus avait lui aussi la place de contourner) et libérer tout ce merdier, il s'obstinait à klaxonner et il refusait d'écouter les automobilistes qui le suppliaient de bouger un peu... et je les comprends, y'a de quoi péter un câble.